Chaque partie de Sombre, jeu de rôle pour se faire peur comme au cinéma, est un film d’horreur imaginaire dans lequel on joue des victimes. Fascicule A5 de 72 pages, le cinquième numéro hors-série de la revue Sombre est consacré à la mythologie Frankenstein. Présenté sous le même format, mais avec une couverture claire, Sombre HS6 l’enrichit et le complète. Après Sombre 7, dans lequel on pouvait jouer Mary Shelley, j’explore plus avant l’univers qu’elle a créé, et que le cinéma d’horreur exploite sans vergogne depuis les années 1930. Que vous soyez fan de Shelley, de Whale, de Fisher, de Lovecraft, de Gordon, de Sherman, de Brooks, de Franju ou de Goethe, vous trouverez votre bonheur dans Sombre HS5. Vous kiffez l’horreur gothique époque georgienne ? Ce numéro est fait pour vous. Aliiive est un setting prêt à improviser. Un décor précisément décrit (le château Frankenstein, plan détaillé à l’appui), accompagné d’un abondant roster de PNJ (les fameuses Créatures) et de PJ prétirés (la famille Frankenstein sur trois générations, arbre généalogique inclus). Ces aides de jeu s’accompagnent d’une backstory riche et flexible, doublée d’une structure narrative dédiée, qui vous faciliteront la maîtrise de semi quickshots, des parties moitié scénarisées, moitié improvisées. Un peu nébuleux ? Pas de panique, ce setting est complété par deux comptes rendus de playtest. J’y montre par l’exemple de quelle manière on peut utiliser Aliiive pour produire de bonnes parties. L’autre gros morceau de ce numéro est un long article dans lequel je raconte la genèse de Classic, le premier système Sombre. Ce texte s’adresse aux fans curieux de mon parcours créatif, aux meneurs désireux de mieux comprendre mes choix techniques, et aux passionnés de game design, qu’ils soient ou non joueurs de Sombre. La création rôliste vous intéresse ? Lisez ce numéro